
Photo: recherche google
Souvent, après quelques années de pratique, les phases de vol près du sol deviennent "approximatives" alors que le droit à l’erreur est faible. Les champions réussissent ces phases car leur cerveau est disponible, et voici la bonne nouvelle : c’est accessible à tous en s’y prenant posément et dans le bon ordre. Avec trente ans de progrès en matériel, en pédagogie, et les mini-caméras pour décortiquer la gestuelle, pas d’excuse pour continuer à se faire peur ou mal et faire du tort à l’activité. Rien ne remplace un recyclage en école, mais voici quelques bases, les points communs entre les différentes phases critiques.
Lire la suite : Nettoyer la technique
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Publication : samedi 17 mars 2012 15:57
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Écrit par FFVL 2007

PDF - ESPACE AERIEN ET VOL LIBRE de la FFVL (2007)
Cliquez pour consulter les différents volets:
- "Espace aérien et vol libre - PARTIE I"
- "Espace aérien et vol libre - PARTIE II"
- "Espace aérien et vol libre - PARTIE III"s"
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Publication : mercredi 14 mars 2012 14:34
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Écrit par Micha Schultze

Qui veut voler loin a besoin d'une base de nuages élevée, de bons taux d'ascension et de thermiques qui durent, de préférence huit, voire dix heures. Cela signifie que ces thermiques doivent se déclencher avant 11 heures et se dissiper après 19h seulement! De plus, le pilote ne doit rencontrer ni surdéveloppement ni vent trop fort. La recette magique des thermiques durables, donc des journées de cross records, se nomme "advection d'air froid".
>>> consulter l'article: "Advection d'air froid"
Article tiré du magazine SwissGlider de la FSVL avec leur aimable autorisation
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Publication : mardi 10 janvier 2012 08:59
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Écrit par Anja Kroll

Photo: Nicolas Vuille à Verbier
J'ai trouvé cet article super intéressant. Il a été écrit pour le parapente, mais convient parfaitement au deltaplane ou à d'autres activités. C'est marrant, je l'ai lu en vitesse juste avant ma première compétition de delta en 2011 et j'ai mis en application quelques exercices avant chaque manche. Coïncidence heureuse, j'ai terminé deuxième! ;-) Bonne lecture! - Nico
>>> Consulter l'article: "Le principe Waouh - training mental" - deltaplane et parapente
Wikidelta.com - Le magazine en ligne du deltaplane. Tous droits de reproduction interdits. Article publié avec l'aimable autorisation du magazine SwissGLIDER de la FSVL.
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Publication : lundi 30 mai 2011 14:13
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Écrit par Raymond Caux

Eduardo en Fun d'Airborne
Tout est réglé, instruments, vérification d’accrochage, vent, trafic … Au "point fixe", il n'y a plus que l'envol à gérer. L’aile n’est jamais aussi bien équilibrée que par terre, donc nous préparons le cap et l’incidence barre au sol, pour soulever l’aile au dernier moment. Les bras sont enroulés pour assurer un bon maintien, la "méthode simple" adaptée en pente école est déconseillée en conditions thermiques. Le regard au loin permet d'afficher les valeurs justes. L’incidence n'est ni trop forte pour laisser accélérer, ni surtout trop faible pour donner la portance (et ne pas obliger à se jeter …).
Lire la suite : DECOLLAGE - Décoller simple
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Publication : samedi 13 juin 2009 23:00
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Écrit par Martin Gassner
NDLR: article super intéressant. A lire absolument, car il va à l'encontre de la croyance de beaucoup de libéristes !
Si le gradient de température est trop grand, les thermiques deviennent durs et étroits. La constatation du chef de la ligue, Martin Scheel, concorde de façon étonnante avec les études scientifiques faites dans ce domaine.
«Si le gradient de température est trop grand dans la couche atmosphérique inférieure, à partir d'environ 0,8°C par 100 m,» explique Martin Scheel, directeur d'épreuves aux CS à Fiesch, «les thermiques se renforcent, mais ne sont guère exploitables. De nombreuses bulles filent dans le ciel telle une succession de coups de canon. Quasi inutilisables.» Avec grande attention et quelque peu ébahis, les pilotes qui l'entourent suivent ses explications tellement contraires à l'opinion courante, selon laquelle les thermiques s'améliorent avec l'accroissement du gradient de température. Et il poursuit: «L'expérience a montré qu'un gradient d'environ 0,6°C par 100 m est meilleur. Les thermiques sont plus doux, plus larges, plus faciles à exploiter.» Pilote d'essai, riche en expériences, il prend soin de préciser que son interprétation s'est avérée petit à petit et n'existe dans aucun abécédaire des thermiques, puis il demande aussitôt si la science n'avait pas abouti à des résultats similaires.
Lire la suite : Expérience et science des thermiques