Tme00 - THERMIQUE, MODE D'EMPLOI
- Détails
- Publication : mercredi 15 octobre 2008 17:32
- Écrit par Jacques Bott
THERMIQUE : MODE D'EMPLOI
Ce document suit celui du même auteur publié dans la rubrique "météorologie". Merci Jacques bott pour la rédaction de cet excellent manuel !
Si vous souhaitez consulter le manuel en pdf plutôt que sur des pages successives, il est là: Thermique, mode d'emploi pour le deltaplane (Jacques Bott)
Nous voici à présent en plein cœur du sujet: comment utiliser cette énergie pour monter dans l'ascendance? La réponse est simple: "y a qu'à rester dans la bulle d'air!" Facile à dire, mais deux grosses difficultés rendent la réalisation difficile:
2) les deltaplanes ne sont pas encore équipés de frein à main!
Thèmes abordés dans ce manuel du deltaplane:
01 - Rester dans la pompe
02 - Rayon de virage
03 - Compromis inclinaison / performance
04 - Vitesse de vol en thermique
05 - Structure non homogène des thermiques
06 - Se recentrer dans la pompe
07 - L'entrée dans un thermique
08 - Contrer et cadencer
09 - Négocier un thermique violent
10 - Les indices d'un thermique
11 - Le thermique dans les basses couches
12 - Quelques indices supplémentaires
13 - Le thermique et le vent
14 - Le thermique sous le vent
15 - Approchant le plafond sous un gros cum
16 - Ascendance en façade de nuage
17 - Environnement orageux
18 - La "grappe"
19 - Quelques conseils pour conclure
AVERTISSEMENT: La pratique du vol libre comporte des risques. C'est le cas de certaines manœuvres décrites dans ce manuel. La responsabilité de l'auteur ne saurait en aucun cas être engagée au titre d'éventuelles conséquences malheureuses si le lecteur exécutait ces manœuvres avec une marge de sécurité insuffisante. Mis à part le cas de l'élève évoluant dans le cadre d'une école, le pilote de vol libre est seul responsable de sa trajectoire et des marges de sécurité qu'il pratique en vol.
Dans les chapitres “Compromis inclinaison/performance” et “vitesse de vol en thermique”, les vitesses obtenues ne sont valables que pour l’aile de référence, à savoir une aile conçue pour voler à 35Km/h au taux de chute mini. Ce n’est absolument pas le cas des deltas de compétitions, ni des rigides dont les vitesses minimales de sécurité sont bien plus élevées. Voler à de telles vitesses avec ces derniers types d’aile conduirait inévitablement à l’accident
3ème édition, Septembre 1999